La grande saga des tirailleurs
Je ne pouvais ne pas vous faire partager ce lien vers une partie de notre histoire commune entre France et Afrique si peu reconnu et surtout mal connu rfi consacre pour l'occasion du cinquantenaire des in
  
16/04/2010 
22:33 
2 Com
Stef
  Mamadou FARABA Sylla , Djembé fola
Salut a tous, J'aimerais savoir si quelques uns d'entre vous seraient assez âgés pour avoir pu entendre et jouer Mamadou "Faraba" Sylla, ancien membre du Ballet National Malien et décéd
16/04/2010 
15:59 
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konoba
  Proverbe
J'ai envi de proposer une page forum ou chacun est invité à ecrire un proverbe dans le but d'enrichire "le proverbe du jour du site donaba". Que les plus beau proverbe viennent enrichir
12/01/2010 
14:26 
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daniel
  Les vieilles personnes en Afrique
Après « le rôle social de l'art en guinée » « risque du monde moderne » et le sujet d'aujourd’hui je pense qu'il faut créer une rubrique intitulée « Vie social en Afrique » Voici un art
10/09/2009 
05:15 
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Mitch
  A la recherche de mes origine
je m'appel moussa koné diarra (kolobakary) je ne c'est pas d'ou est orriginaire mon nom de famille je sais c'est ps qui sont mes ancetres ni leur  histoire et sont t-ils des nobles ou des griots et ou
08/07/2009 
19:33 
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missa
  El Hadj Djeli Sory KOUYATE, le doyen du balafon, s’est éteint
dans la nuit du 16 juin 2009 le doyen du balafon El Hadj Djeli Sory KOUYATE a quitté notre monde Né en 1918 à kindia, il reçoit son premier balafon à l'âge d
18/06/2009 
15:48 
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koutouroukelefa
  Keita, Traoré, Kouyaté.....qui est qui?
Bonjour a tous, je suis actuellement en recherche pour classifier un peu (et dans la limite du possible) les noms africains Ceux qui sont les memes et à quelles castes ils appartiennent
05/05/2009 
13:57 
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tito
  Proverbe à la guinéenne
Sila djagna djagna alaban yala= quelque soit la distance d'un chémin, il y aura un terminus ou une fin. La soufrance est un conseil,mais pas une punition.
11/04/2009 
10:15 

djed
  Bassi, une histoire de parole
Bonjour, un film est mis ce jour en ligne sur youtube. voici le lien :
  
08/12/2008 
19:31 
18 Com
Rafaël
  Le djély qui chanta la liberté
Article vu sur http://www.transboreal.fr/actualite/guineeconakry/guineeconakry.html Courriel reçu le 23 no
05/10/2008 
15:48 
1 Com
Stef
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Article vu sur http://www.transboreal.fr/actualite/guineeconakry/guineeconakry.html

Courriel reçu le 23 novembre : Le djély qui chanta la liberté.

« Mamadou Kandé ?
— C’est là, au fond de la cour. »
Une poignée d’enfants à demi-nus me conduisent jusqu’à la porte entrebâillée. Dans la pénombre, trois hommes attablés. Devant eux, un grand plat parfume la pièce d’une odeur de riz gras. Ils y plongent leur pogne ruisselante ; les mouches sont de la partie.
« Invitation ! » lance l’un d’eux, bravement.
L’estomac en peine, j’invoque la clémence de mon hôte que je crois reconnaître à ses tempes grises. El Hadj Mamadou Kandé, l’un des plus grands griots guinéens, l’un des plus respectés aussi. Ce que l’on sait moins, c’est qu’il est l’auteur de l’hymne national. D’emblée, il tient à accorder les violons : « Griot ? Ce sont les Blancs qui nous ont affublés de ce nom. C’est bon pour les bateleurs de foire mais moi, je suis un djély », plastronne-t-il, droit dans son fauteuil.

Djely est un terme mandingue qui désigne le sang. C’est un sage, une autorité morale que l’on vient consulter pour toutes sortes d’affaires : mariages, enterrements, disputes… Les djélys sont aussi les gardiens de l’histoire qu’ils transmettent en chansons depuis des temps immémoriaux, de père en fils. Tel est Mamadou Kandé, un « sac à paroles » gorgé de souvenirs, d’histoires et de légendes. Naissance imprécise (son passeport indique 1935) sur une natte de Saraya, un village malinké de Haute-Guinée. Il est l’héritier d’une dynastie qu’il fait remonter à Soumaoro Kanté, le dernier empereur Sosso qui régna de 1200 à 1235.

« Mon père était djély, je le suis donc devenu aussi, raconte-t-il de sa voix roulante. Lorsque j’étais enfant, mes amis me considéraient déjà comme un djély. En retour, je leur devais le respect dû aux djétys, les nobles. » À peine sorti de l’adolescence, le jeune Mamadou prend son bâton de pèlerin et part chanter l’histoire du pays de village en village. En 1952, il croise la route d’un jeune syndicaliste ambitieux promis à un grand avenir : Sékou Touré. Les deux hommes se retrouveront six ans plus tard, au tournant de l’histoire. Le 25 août 1958, De Gaulle est en visite en Guinée pour la campagne du référendum du 28 septembre sur l’adhésion des colonies africaines à la Communauté française. Il est froidement accueilli par Sékou Touré qui lui lance : « Nous préférons la liberté dans la pauvreté à la richesse dans l’esclavage. » Piqué au vif, De Gaulle rétorque que l’indépendance est à la disposition de la Guinée. « Une fenêtre s’ouvrait sur la liberté, se souvient Mamadou Kandé. J’étais jeune, mais j’ai senti l’importance de l’événement. Avec la colonisation, le djély avait perdu tout son rôle social : une occasion formidable se présentait pour inverser le cours des choses. » Dès le lendemain, il se met à l’ouvrage et commence à composer une chanson. Trois semaines plus tard, la guitare sous le bras, Mamadou Kandé se rend chez l’une des autorités du pays, Fodéba Keita, le créateur des célèbres Ballets africains.
« Est-il vrai que nous allons pouvoir choisir notre avenir ?
— Oui, c’est sûr. »

« J’ai commencé à chanter, il s’est émerveillé. Le jour suivant, on est allés enregistrer à la radio et le lendemain, à 6 heures, toute la Guinée a été réveillée par ma chanson. » Cet air, connu depuis sous le nom d’« hymne de l’Indépendance », s’est alors répandu comme feu de brousse. Une semaine plus tard, le 28 septembre, la Guinée est le seul pays à voter « non » au référendum et, le 2 octobre, elle devient la première colonie française d’Afrique noire à accéder à l’indépendance. Les mois passent et Fodéba Keita, nommé ministre de l’Intérieur du nouvel État, fait appel à Mamadou Kandé pour écrire les paroles de l’hymne national dont il a lui-même composé la musique. Mais la Guinée indépendante déchante vite. Aux mois de liesse succèdent la folie sanguinaire, la révolution culturelle, les pendaisons, les déportations à Camp Boiro, sinistre goulag tropical où Fodéba Keita finira ses jours.

Restent ces mots chargés de promesses que le vieil homme s’est mis à entonner : « Liberté ! c’est la voix d’un peuple qui appelle tous ses frères à se retrouver. » Il semble perdu dans ses souvenirs en noir et blanc, comme toutes ces photos accrochées aux murs. Il ne dit rien, mais sur son front passent des espoirs déçus. Soudain, il refait surface. L’heure de la prière. Il disparaît, indolent, dans l’embrasure d’une porte. « Nous préférons la liberté dans la pauvreté » : la prophétie de Sékou Touré me revient comme un goût amer. Ce soir-là, il pleut à verse. Des cohortes de pauvres hères, dépenaillés, courent dans la rue Nous arrivions à Gueckédou, théâtre des affrontements les plus intenses. Une ville no man’s land

Michel Tendil
  Le djély qui chanta la liberté      
Stef  Posté le 01/01/1970 01:00
Stef  Le 05/10/2008 15:48  

Que fêter pour ces 50 ans d’indépendances ?




Les espoirs déçus, voilà ce que je retiens en relisant ce reportage de michel tendil
Comme il le répète si bien.
« Nous préférons la liberté dans la pauvreté » : la prophétie de Sékou Touré a été accomplie à part qu’il n’y a pas de liberté dans la pauvreté….

Le 4 octobre le président sarkosy présentant ces vœux disait « Je souhaite qu’à l’occasion du 50ème anniversaire de son indépendance, votre pays retrouve l’audace qui l’a animé en 1958, pour marcher résolument vers l’organisation d’élections libres et transparentes qu’attendent les Guinéens.»
Comme il le rappelle ainsi que les derniers évènements : la liberté n’est même pas pour les riches !

Alors que fêter pour ces 50 ans d’indépendances ?

- Les orchestres et les ballets de la révolution et le bonheur émotionnel qu’ils nous procurent encore aujourd’hui, malgré l’état délabrement dans lesquelles ils sont actuellement si ce n’est de disparition ...

La valorisation du patrimoine culturel et identitaire africain, continuant sa route jusqu'à nous ...

La reconnaissance du statut d'artiste
Tout cela est l'héritage de Sekou Touré, depuis 24 ans rien de bien réjouissant, excepté l'ouverture du pays et l'exportation de sa culture et l'expatriation de ses artistes, mais la guinée et les guinéens là dedans ??


Parmis les lectures disponibles sur internet marquant ce cinquantenaire de l’indépendance une retient mon intention, l’article de Bangaly Condé « Malbanga » sur aminata.com

Bien qu’il passe sous silence l’œuvre culturel de Sily Sèkhu , il retrace l’histoire politique de la guinée depuis son indépendance.
Je me suis permis d’en reprendre le contenu tout en l’amputant de passage afin de le rendre plus lisible, pour les plus investie il est lisible sur ce lien http://www.aminata.com/index.php?option=com_content&task=view&id=3340&Itemid=769




Bangaly Condé « Malbanga » :

Cette décision immortelle de la Guinée de dire non au général De Gaule, qui n’a pas moins déstabilisé “l’ancien maître”, ne restera pas sans représailles. Ainsi les jours qui suivirent, la France ne manquera pas de prendre des mesures de rétorsions économiques contre la jeune République, qui constitueront d’ailleurs pendant longtemps, une véritable entrave à son développement économique.

Il va sans dire que c’est un pays épuisé et délabré par soixante années de domination, que le colonisateur laissera en héritage, au premier Président de la Guinée indépendante. Ahmed Sékou Touré, dont le nom s’identifie désormais à l’histoire guinéenne, père de l’indépendance, premier chef de l’Etat, instaurera un régime révolutionnaire avec un système à Parti unique pour consolider l’unité nationale. Le seul parti qui avait droit de cité était le Parti Démocratique de Guinée (P.D.G.). Un parti de masse qui voulait rassembler la totalité de la population. Un véritable parti- nation comme dans presque tous les pays africains où cette structure constituait un moyen de créer une nation et de déguiser les rivalités ethniques et régionales. ….

Ce régime qui se voulait socialiste sera interrompu dans son ascension politique, économique et sociale en 1984 par la disparition subite de son premier Président. …
Quelques jours plus tard, les militaires renversent le régime du Président défunt au moment même où les tractations se poursuivaient pour trouver un successeur.
Le 3 avril 1984, un régime d’exception est instauré sous la houlette d’un Comité Militaire de Redressement National (C.M.R.N.) dirigé par un certain Général Lansana Conté.

Il fallait attendre le 5 juillet 1985 pour voir ce régime entrain de se détourner de cette promesse de démocratisation après le putsch manqué de l’ex Premier Ministre Diarra Traoré, bien sûr si c’en était un.
Dès lors, le Général-Président et son gouvernement procéderont à une vague d’arrestation. Puis, s’en suivit une véritable vendetta avec l’élimination sans procès en juillet 1985 de tous les officiers militaires et civils influents de l’ethnie du vrai-faux putschiste. Aussi, des compagnons de Sékou Touré seront-ils lâchement abattus et enterrés dans une fausse commune.
Ainsi le Général Lansana Conté détruisit-il la pépinière potentielle de vassaux qui risquaient de lui faire ombrage. Désormais il sera le seul maître incontesté du C.M.R.N.

Dès le 2 octobre 1989, le gouvernement guinéen s’engage dans un processus de démocratisation étalé sur cinq ans. En prenant cette décision, les militaires n’avaient pas pris en compte la situation dans laquelle vivait le peuple de Guinée. Une situation déplorable à tous les égards. Un pays déjà confronté à de sérieuses difficultés économiques, accentuées par la rigueur d’un programme d’ajustement structurel que le F.M.I. et la Banque Mondiale imposent un peu partout sur le continent, aussi la compression des effectifs de la fonction publique de 90.000 à 50.000 fonctionnaires, ne pouvait plus attendre cinq ans.

La vie devenant dure pour le peuple et voyant son impopularité s’accentuée, Lansana Conté optera pour une autre politique qui est souvent de bonne guerre: diviser pour régner. Pour s’en convaincre, les événements de N’Nzérékoré sont suffisants.
Ainsi le 9 juin 1991 un grand conflit sans précédent opposera les Malinkés aux Guerzés. L’unité nationale sera entamée. Le bilan est lourd. Officiellement 12 personnes seront déclarées mortes. Mais les témoins des événements relèveront plus de 1000 disparus. Depuis lors, l’ethnocentrisme, le tribalisme et le sectarisme ont fait partie du quotidien du Guinéen.

l’homme de Wawa exerçant un pouvoir sans partage aux cotés d’une opposition qui n’existe que par le nom, se croira désormais tout permis. Il se fera entourer des gens incompétents, corrompus et sans état d’âme qui rempliront leurs poches et mettront le pays à genoux. A tel point que Sydi Yaya Touré, Lamine Sidimé, François Louceny Fall et Cellou Dallin Diallo se succéderont à la primature sans succès parce que non seulement Lansana Conté rechigne le partage du pouvoir, mais aussi il est hostile aux reformes politiques et économiques. Conséquences : mauvaise gouvernance, la détérioration des conditions de vie de la population, corruption, pillage des deniers publics, création d’un Narco-Etat. Bref, une situation économique globale dont tous les indicateurs étaient au rouge.
Déjà entre 2003 et 2006 le taux de croissance du produit intérieur brut a chuté pour être à moins de 1%, alors qu’il était à 4% au cours des années 1990. L’inflation a atteint 39% en 2006 entraînant une chute vertigineuse du pouvoir d’achat de la population. D’où le réveil de la belle au bois dormant. Le peuple.

Jusqu’au jour où le premier magistrat de la République Lansana Conté ira sortir de la prison son alter égo Mamadou Sylla et son ami Fodé Soumah qui étaient pourtant accusés d’avoir puisé de l’argent dans les caisses de l’Etat. Il ne restait plus que ça pour réveiller un peuple qui a longtemps subi le dictat d’un petit groupe d’extrémistes qui avait pris le pays en otage.
Ensuite, sous la houlette de la puissante centrale syndicale guinéenne, le peuple de Guinée se soulèvera entre janvier et février 2007 pour la première fois de son histoire comme un seul homme et d’une seule voix.
Le gouvernement pris de panique par l’ampleur de ce soulèvement, n’hésitera pas à mettre en marche sa machine de répression. Bilan: 200 morts et plus de 1000 blessés.

Ainsi le 26 février 2007, un premier ministre de consensus sera choisi sur une liste proposée par les syndicats et la société civile. Le choix portera sur Lansana Kouyaté, un roturier de la diplomatie qui a eu ses marques de noblesse à la tâche aux cotés des Nations Unies, de la CEDEAO et de la Francophonie. Un homme intègre, pétri d’expérience, appelé pour sauver le pays dans le creux de la vague.

L’espoir commençait à renaître. Les signes d’amélioration se multipliaient. Les partenaires au développement qui avaient boudé le pays depuis 2002 avait renoué contact avec les nouvelles autorités, l’eau et l’électricité ne se faisaient plus rare, la création d’une commission d’enquête sur les assassinats de janvier et février et ce, malgré la disparition de l’un des principaux bourreaux de cette répression le général Kerfala Camara, était venu à point nommé. les citoyens surveillaient et réclamaient la transparence dans la gestion des affaires de l’Etat, le gouvernement s’expliquait et rendait compte au quotidien de son action.

Mais très tôt, la mitoyenneté du Président Conté, composée de mécontents et d’opposants au changement, tentera par tous les moyens-des diffamations aux intoxications, des contre-vérités aux ragots, des fausses annonces aux faux décrets- de saboter les actions et les programmes du gouvernement de Lansana Kouyaté.
Ces actes de sabotages sont légion … (voir l’article complet)


conclusion :
Après un demi siècle, les Guinéens doivent faire leur propre mea culpa, comparer leur pays à ceux de la sous région. Tous les pays qui naguère enviaient la Guinée ont dépassé aujourd’hui, le pays d’Ahmed Sékou Touré, de Lansana Conté, du château d’eau de l’Afrique et du scandale géologique, dans les domaines de l’éducation, de la santé, des infrastructures, de l’accès à l’eau et à l’électricité, au logement, à l’alimentation etc.
Après 50 ans d’indépendance, le pouvoir d’achat du Guinéen est le plus faible de la sous région. Rare sont les familles qui peuvent assurer les trois repas par jour, encore moins assurer l’éducation de leurs enfants. Conséquences : l’aggravation de la délinquance, de la prostitution et de la consommation de drogue.

La Guinée est toujours un pays qui a toutes les chances de se hisser parmi les géants de l’Afrique à cause de ses potentialités économiques et culturelles.
Mais ce qui reste à faire, c’est d’accepter et de participer au changement entrepris par le gouvernement de consensus de Kouyaté et poursuivi par le gouvernement de large ouverture de Souaré.
Pour le faire, il faut que les Guinéens consentissent des sacrifices, fassent preuve d’un patriotisme exemplaire et surtout de la patience. Combattre l’ethnocentrisme de toutes nos forces, renforcer l’unité nationale, accepter l’autre, utiliser notre différence pour nous développer au lieu de nous diviser, critiquer nos leaders selon ce qu’ils font et non par ce qu’ils sont. Bref, restons positifs.
Ce cinquantenaire doit être une occasion pour nous de tourner la page afin d’éviter de ressasser le passé, de se réconcilier en pardonnant les erreurs des uns et des autres. Le ministre secrétaires général à la présidence Alpha Ibrahima Kéira, la ministre de la santé et de l’hygiène publique Mariame Beavogui, le directeur du port autonome de Conakry Babi Kabassan et Fanta Toya Condé secrétaire à la présidence n’ont-ils pas pardonné le bourreau de leurs pères ?
Alors pardonnons et prenons un nouvel élan, car aujourd’hui et plus que jamais, les Guinéens sont condamnés à s’unir et resserrer les rangs pour que notre chère patrie puisse désormais faire son entrée dans le concert des grandes nations.
La Guinée reste toujours un jeune Etat qui a toutes ses 32 dents, pour mordre encore dans la vie.




La conclusion nous rendrait presque optimiste, l’histoire étatique du pays est dans sa première jeunesse et le temps permettra j’en suis sûr de donner raison à Bangaly Condé « Malbanga »